Le jury féminin du Prix Femina a dévoilé la première sélection pour ses récompenses de la rentrée 2018, dans les catégories romans français et romans étrangers. On retrouve les noms d'Emmanuelle Bayamack-Tam, Nina Bouraoui, Isabelle Desesquelles, Philippe Lançon ou encore David Diop, régulièrement cités par les jurys de prix littéraires.
Le 18/09/2018 à 09:48 par Antoine Oury
Publié le :
18/09/2018 à 09:48
Emmanuelle Bayamack-Tam, Arcadie (P.O.L)
Yves Bichet, Trois enfants du tumulte (Mercure de France)
Nina Bouraoui, Tous les hommes naturellement désirent savoir (JC Lattès)
Isabelle Desesquelles, Je voudrais que la nuit me prenne (Belfond)
Régine Detambel, Platine (Actes Sud)
David Diop, Frère d'âme (Seuil)
Clara Dupont-Monod, La révolte (Stock)
Michaël Ferrier, François, portrait d'un absent (Gallimard)
Pierre Guyotat, Idiotie (Grasset)
Philippe Lançon, Le lambeau (Gallimard)
Olivier Liron, Einstein, le sexe et moi (Alma)
Vanessa Schneider, Tu t'appelais Maria Schneider (Grasset)
Tiffany Tavernier, Roissy (Sabine Wespieser)
Philippe Vasset, Une vie en l'air (Fayard)
Marco Balzano, Je reste ici, traduit de l'italien par Nathalie Bauer, (Philippe Rey)
Stefan Brijs, Taxi Curaçao, traduit du néerlandais (Belgique) par Daniel Cunin (Héloïse d'Ormesson)
Javier Cercas, Le monarque des ombres, traduit de l'espagnol par Aleksandar Grujicic, avec la collaboration de Karine Louesdon (Actes Sud)
György Dragoman, Le bûcher, traduit du hongrois par Joëlle Dufeuilly (Gallimard)
Vivian Gornick, La femme à part, traduit de l'anglais (États-Unis) par Laetitia Devaux (Rivages)
Stefan Hertmans, Le coeur converti, traduit du néerlandais par Isabelle Rosselin (Gallimard)
Abubakar Adam Ibrahim, La saison des fleurs de flamme, traduit de l'anglais (Nigeria) par Marc Amfreville (L'Observatoire)
Nicole Krauss, Forêt obscure, traduit de l'anglais (États-Unis) par Paule Guivarch (L'Olivier)
Alice McDermott, La neuvième heure, traduit de l'anglais (États-Unis) par Cécile Arnaud (La Table Ronde)
Itamar Orlev, Voyou, traduit de l'hébreu par Laurence Sendrowicz (Seuil)
Jon Kalman Stefansson, Asta, traduit de l'islandais par Éric Boury (Grasset)
Gabriel Tallent, My Absolute Darling, traduit de l'anglais (États-Unis) par Laura Derajinski (Gallmeister)
Olga Tokarczuk, Les livres de Jacob, traduit du polonais par Maryla Laurent (Noir sur Blanc)
Samar Yazbek, La marcheuse, traduit de l'arabe (Syrie) par Khaled Osman (Stock)
Deux autres sélections seront dévoilées par le jury les 5 et 24 octobre, avant la remise du prix le premier mercredi du mois de novembre.
L'année dernière, le Prix Femina avait été décerné à Philippe Jaenada, John Edgar Wideman et Jean-Luc Coatalem.
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